Les écoquartiers

Quatre éléments, quatre quartiers, cinq continents :
Voyage au coeur d'une ville sans frontière


Proteopolis se compose de quatre écoquartiers, chacun évoquant un élément naturel, une langue, une culture, un continent différents :

- Fuegoville est le quartier du feu (« fuego » en espagnol). Le climat chaud et l’ambiance généralement festive qui règnent dans la péninsule ibérique se prêtent bien à cette association d’idées. C’est l’Europe qui est à l’honneur dans ce quartier.

- Windville est le quartier de l’air. Le vent (« wind » en anglais) est un phénomène naturel dont les effets les plus puissants sont observés aux Etats-Unis avec leurs cataclysmiques tornades hivernales et printanières ou leurs cyclones engendrés, transportés et finalement projetés par l'océan Atlantique ou la mer des Caraïbes, chaque été. C'est donc le continent américain que nous survolons dans ce quartier.



- Mizuville est le quartier de l’eau (« mizu », en japonais). Le Japon est une île située en zone ultra-sismique. Les Japonais ayant assimilé depuis bien longtemps le risque permanent qu’ils encourent, c’est de leur pays que vient le mot « tsunami », qui signifie littéralement « vague géante déferlant dans le port ». Nous avons accosté en Asie.

- Terreville est le quartier de l’élément terre. Contrairement aux autres quartiers, son nom n’est pas l’apanage de Proteopolis. C'est avant tout le nom du lieu-dit où j’ai passé le plus clair de mes jours. A lui seul, ce quartier d'Elem City donne une vitrine sur les deux derniers continents. D’une part, la pyramide sur trois niveaux est une déclinaison futuriste des antiques pyramides situées en Egypte, sur le continent africain. D’autre part, la tour dorée aux quatre pointes n’est pas sans nous rappeler Orthanc, l’une des Deux Tours qui ont fait l’objet d’une adaptation cinématographique lors du deuxième volet de la trilogie « Le Seigneur des Anneaux ». Or ce film a été tourné en Nouvelle-Zélande, un pays de l’Océanie.
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